Jeune compositeur interprète berruyer, Sylvain Picot chantera lors du banquet du centenaire de l’Huma, organisé à Bourges le 28 novembre au Palais d’Auron. Une occasion pour les participants d’assister à la naissance d’une carrière artistique très prometteuse.

Sylvain Picot...un nom qui vous dit peut-être quelque chose. Vous avez déjà peut-être vu son nom sur une affiche de concert organisé dans un des bars de Bourges, assisté à l’un de ses concerts au festival de Saint-Fargeau, à la FNAC ou à la Soupe aux choux. A moins que vous ne l’ayez vu cet été lors du festival « Aux zarbs etc... » à Auxerre, où il a joué en première partie de Bénabar, Tarmac et Jamait.

Ce chemin artistique, Sylvain Picot l’emprunte officiellement en 1999 : il joue puis chante dans le groupe berruyer les « Skatches Bao ». En 2002, il s’essaie dans un groupe qu’il crée avec quelques copains : Métro Gordaine, du nom d’une place bien connue des jeunes berruyers, et des moins jeunes, qui font de ce lieu le terminus de leurs soirées. Le groupe se sépare l’année d’après, l’occasion pour Sylvain de se lancer en solo. Dans la foulée, il sort son premier album.

Sylvain Picot compose des mélodies subtiles sur sa guitare, auxquelles il accorde une grande importance. Normal pour un artiste qui a toujours baigné dans la musique, et notamment dans celle des Beatles, dès sa plus tendre enfance. Les paroles qu’il écrit sont des histoires simples, drôles ou émouvantes. Il avoue puiser son inspiration dans sa ville, Bourges, qu’il aime : une ville qu’il compare à un village, pour sa qualité de vie, et pour ses habitants. Ses chansons sont le fruit de rencontres. Chanteur à texte, Sylvain Picot « parle avec le cœur et se confie aux cœurs » selon ses propres termes.

Le 28 novembre, Sylvain Picot fera découvrir ses textes, et nous donnera à entendre ceux des chanteurs qu’il apprécie, pour nous faire partager son univers : celui d’un artiste authentique et sincère.